Organiser le récit chronologiquement
Remplir les vides
Complétez le texte suivant :
La première étape d’un récit est la elle présente le ou les personnages, le cadre de l’histoire; elle n’est marquée par aucun événement spécial.
Suit l’, c’est un événement subit qui va déclencher une série d’actions qu’on appelle Celles-ci se succèdent pour aboutir au ou résolution du problème.
La clôt le récit par un nouvel équilibre. Lorsque l’issue est inattendue, brutale, opposée à celle qu’on attendait, on l’appelle la .
Choisir la réponse correcte de la liste
Choisissez la bonne réponse.
1) Une ellipse est un : ****
2) Un flash-back est : ****
3) L’élément qui bouleverse l’équilibre et déclenche une série d’actions, c’est : ****
4) Dans une progression chronologique, les actions sont rapportées : ****
5) La chute est : ****
Choisir la réponse correcte de la liste
Dîtes quel énoncé contient une ellipse, une anticipation, ou retour en arrière.
1) « Ivanovna prit peur sans trop savoir de quoi et monta dans la voiture en frissonnant de façon inexplicable. A son retour, sa mère courut à la fenêtre» ****
2) « Le jeune homme fut réveillé par un bruit curieux dans le couloir …On eut dit un crissement de métal qui semblait se rapprocher. Ce n’était pas la première fois que cela se produisait. La veille, en effet, il lui avait semblé percevoir une présence qui l’avait tenu en alerte toute la nuit» ****
3) Julien avait 24 ans, Sylvie, vingt-deux étaient devenus psychosociologues par nécessité non par choix (…) L’histoire avait choisi pour eux.(…) Etudiants, la perspective d’une licence à Nogent-sur-Seine, les épouvantait au point qu’à peine se furent-ils rencontrés Jérôme avait alors vingt et un ans et Sylvie dix-neuf ils abandonnèrent sans presque avoir à se concerter.****
4) « On va laisser une fille sur la charrette. On va l’attacher, bien sûr. Je crois qu’on va bien rire…Mais enfin elle va avoir froid, protesta son ami, et puis pense à ses parents ; elle va les appeler, ils vont faire des histoires. ****
5) Les gendarmes étaient arrivés avec l’ambulance(…) Ils avaient demandé s’il y avait des témoins. Mais personne n’avait rien vu rien entendu. C’est la mère Guillaume qui l’a découvert vers cinq heures…L’accident s’était produit à quelque centaines de mètres de chez eux. ..Depuis les gendarmes ont interrogé Guillaume. ****
6) Mathilde est devenue une véritable femme du peuple lorsqu'elle rencontre à nouveau Mme Forestier, dix ans plus tard. Quand elle s'est fait reconnaître, elle lui explique la perte du bijou et parle des dettes qui viennent enfin d'être remboursées. ****
Cliquer et glisser les réponses dans les cases correspondantes parmi les mots possibles ci-dessous
A quelle nouvelle dont voici des extraits, correspondraient les titres donnés.
1 :
2 :
3 :
4 :
5 :
Cliquer et glisser les réponses dans les cases correspondantes parmi les mots possibles ci-dessous
Classez les noms donnés qui traduisent la «peur» suivant une graduation ascendante.
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
Regroupez les mots suivants en trois listes exprimant trois sentiments différents.
Frayeur, sympathie, indignation, frousse, trac, estime, inquiétude, exaspération, amitié,
panique, rage, passion, terreur, fureur, adoration, irritation, épouvante.
Expression de la colère : indignation, exaspération, rage, fureur, irritation.
De l’attachement : sympathie, estime, amitié, passion, adoration.
De la peur : trac, frousse, inquiétude, panique, terreur, épouvante.
A l’oral, on peut exprimer ses émotions ou des sentiments au moyen de simples interjections.
exemple : oh ! aïe.
Dans le récit, elles se rencontrent dans les discours rapportés direct.
Associer par un trait
Reliez chaque interjection à l’émotion ou au sentiment qu’elle exprime.
-
1
-
2
-
3
-
4
-
5
-
6
-
7
-
Etonnement
-
Hésitation
-
Soulagement
-
Regret
-
Douleur
-
Mécontentement
-
Enthousiasme, admiration
Associer par un trait
Reliez chaque expression au sentiment correspondant.
-
Trembler comme une feuille
-
Avoir la gorge nouée
-
Sortir de ses gonds
-
Faire les cent pas
-
Etre comme un poisson dans l’eau
-
Etre aux anges
-
Ne ne pas en croire ses yeux
-
Vouloir disparaitre sous terre
-
Peur, frayeur
-
Tristesse
-
Colère
-
Impatience
-
Bonheur
-
Joie
-
Etonnement, surprise
-
Honte
Remplir les vides
Complétez le paragraphe ci-dessous avec les verbes de la liste proposée pour exprimer les huit façons d’exprimer les manifestations physiques de la peur. Mettez les verbes au présent.
Avoir, claquer, couler, parcourir, prendre, se dresser, se hérisser, trembler.
L’homme la chair de poule, des frissons tout son corps, la sueur sur son front, ses cheveux sur sa tête, il de tous des membres; il des dents, ses poils ; il alors ses jambes à son cou.
Cliquer et glisser les réponses dans les cases correspondantes parmi les mots possibles ci-dessous
Complétez les phrases ci-dessous par le mot qui convient pour exprimer un sentiment.
1- Ses parents lui ont fait un cadeau qui ne lui plait pas : il est .
2-Les habitants sont en parce qu’une usine polluante va s’installer dans la ville.
3- Il a frôlé l’accident à cause d’un moment de somnolence : Il a eu la de sa vie.
4- Les enfants sont parce qu’on leur a annoncé leur prochain départ en excursion.
5- Les invités sont ; ils ne s’attendaient pas à un tel accueil.
6- Comment veux-tu que je ne sois pas de mon frère ? Mes parents lui paient un voyage et pas à moi.
7- L’automobiliste est : il a perdu ses clés, les papiers d’identité.
Choisir la réponse correcte de la liste
Complétez les phrases en choisissant parmi les deux propositions données.
1- Les hirondelles sont revenues ****.
2- ****, la fête battait son plein, les enfants couraient autour des tables.
3-Il épousa une fille qu’il avait connue ****.
4- Il a fait beau ce jour-là, pourtant **** il avait neigé.
5- ****, nous irons en Espagne.
6- On dit qu’autrefois, les sirènes **** les marins par leur chant.
7- Le professeur rend aux élèves les devoirs qu’ils ont faits ****.
Remplir les vides
Complétez les phrases avec l’indicateur temporel qui convient.
1- S’il fait beau, nous irons en promenade demain.
- S’il avait fait beau nous serions allés en promenade .
2- Nous sommes arrivés ce matin, nous repartirons la semaine prochaine.
- Nous étions arrivés ce matin-là, nous sommes repartis .
3- Aujourd’hui, la lecture intéresse peu les jeunes alors qu’ c’était le principal passe-temps.
4- Le film qui passe ce soir présente trop de scènes de violence, celui que j’ai vu était plus intéressant.
5- L’année dernière, j’étais au collège en 4ème AM, je suis au lycée en 1ère AS, je serai en 2ème AS.
Cliquer et glisser les réponses dans les cases correspondantes parmi les mots possibles ci-dessous
Complétez les phrases suivantes.
1- L’athlète a parcouru les 100 mètres moins de 10 secondes.
2- Nous sommes dans cette école deux ans.
3- Le feu passera au vert, les voitures démarreront.
4- Attends- moi ici, je reviens cinq minutes.
5- Les examens auront lieu mai.
6- une heure que je vous attends.
7- Il a dormi tout le trajet.
8- Tu te laveras les dents d’aller te coucher.
9- La signature du contrat a eu lieu une semaine.
10- Les voyageurs patientent dans la salle l’arrivée du train.
Cliquer et glisser les réponses dans les cases correspondantes parmi les mots possibles ci-dessous
Complétez avec les expressions suivantes.
1- , les oiseaux regagnent leurs nids.
2- , il a du mal à se réveiller si bien qu’il arrive en retard à l’école.
3- Le jeune inconscient n’arrête pas de commettre des vols. il se fera attraper.
4- Les enfants se sont bien amusés leur séjour en mer.
5- Le soleil brille et les températures sont douces pourtant nous sommes .
Développez les phrases suivantes à l’aide d’un ou de plusieurs compléments de temps puis recopiez-les de façon à obtenir un paragraphe.
1-La chienne Mirza a été renversée par un cycliste.
2-Elle revenait à la maison.
3-Lyla l’a retrouvée gisant au bord du trottoir.
4-Elle l’a portée chez le vétérinaire.
5- Mirza s’est rétablie.
6- De minuscules chatons dorment pelotonnés les uns contre les autres.
1- ce matin, 2- après une longue absence, 3- en sortant de l’école, 4- aussitôt, 5- au bout de plusieurs semaines ou ( a mis plusieurs semaines pour se rétablir) , 6-aujourd’hui.
Ce matin, la chienne Mirza a été renversée par un cycliste. Elle revenait à la maison après une longue absence.
A midi, en sortant de l’école, Lyla l’a retrouvée, gisant au bord du trottoir. Elle l’a aussitôt portée chez le vétérinaire. Mirza a mis de longues semaines pour se rétablir. Aujourd’hui, de minuscules chiots dorment pelotonnés les uns contre les autres.
Il ya un verbe conjugué à la voix passive.
Choisir la réponse correcte de la liste
Indiquez le temps du verbe en choisissant la bonne réponse.
1- Je marchais **** tranquillement dans la rue quand un homme surgit d’une impasse et m’arracha le sac.
2- Il mourait d’envie **** d’aller voir le film : tous ses camarades l’avaient déjà vu.
3- Le papa qui dort sur le banc du couloir de la clinique est réveillé **** par un cri strident : son enfant est né à l’aube.
4- L’athlète blessé a annoncé à la presse qu’il ne courrait **** pas à la prochaine compétition.
5 – Aussitôt qu’il eut aperçu **** le détective, le voleur fit demi-tour et disparut au milieu de la foule.
6- Les élèves ont été rassemblés **** pour chanter l’hymne national.
Remplir les vides
Indiquez le temps des verbes.
1- Lorsque nous arrivâmes à la maison, le jour se levait .
2-Quand ils eurent terminé leurs devoirs ils remirent leurs copies au professeur.
3- La maman s’inquiétait : le traitement prescrit par le médecin serait-il efficace ?
4- Il vit dans un quartier insalubre, dans un taudis qu’il a bâti avec des tôles et des plaques de bois.
5- La caravane avait parcouru plusieurs kilomètres avant d’atteindre l’oasis.
6-La cueillette des olives fut longue : La gelée avait détruit une partie des fruits.
Remplir les vides
Mettez les verbes aux temps indiqués.
1- Cette année- là, la sécheresse ( s’installer) (passé simple).
2- La pluie qu’on (espérer) (plus-que-parfait ) ne pas (tomber) (passé simple).
3- Les vents (pomper) (plus-que-parfait) l’humidité nocturne.
4- La terre craquelée (avoir soif) (imparfait).
5- Plus une goutte ne (couler) (passé simple) de la source; les oueds (être) (imparfait) taris.
6- « Nous (épuiser) (passé composé) toutes nos réserves, (dire) l’homme (passé simple) ».
7- Les paysans (comprendre) (passé simple) que ce (être) (futur du passé) la ruine.
Remplir les vides
Complétez les phrases en employant les temps du système du passé.
1- Chaque matin, Mourad (prendre) le bus pour se rendre à l’école.
2- Ce jour-là, le bus (ne pas arriver) pas; il (retarder) par un énorme embouteillage.
3- Comme Mourad (avoir) un contrôle de français, il (devoir) aller à pied.
4- Mais il (savoir) qu’il(arriver) en retard et qu’il (rater) son examen.
5- Heureusement, son voisin qui (passer) par là en voiture, le (voir) et lui (proposer) de l’accompagner.
Choisir la réponse correcte de la liste
Indique à la fin de chaque phrase s’il s’agit de discours rapporté ou de récit (les tirets devant les discours rapportés ont été délibérément retirés).
1) Madame Lellouche réveille Mickael ****
2) Réveille-toi, c’est l’heure de te lever pour aller à l’école ****
3) Mickael remonte les couvertures sur sa tête ****
4) Je n’ai pas envie ! Les profs ne m’aiment pas et les enfants se moquent de moi. ****
5) Mme Lellouche soulève la couverture ****
6) Mickael, tu n’as pas le choix, tu dois aller à l’école ****
7) Ah bon ? Donne-moi une seule raison d’y aller. ****
8) Bien sûr, Mickael, tu as quarante- cinq ans et tu es le directeur ****
Cliquer et glisser les réponses dans les cases correspondantes parmi les mots possibles ci-dessous
Complétez le texte avec un verbe de parole pris dans la liste donnée.
La jeune femme d’une voix entrecoupée, en sanglant
- Mes braves gens, je viens vous trouver parce que je voudrais bien…je voudrais emmener avec moi, votre
…votre petit garçon…
Elle reprit haleine et
- Nous n’avons pas d’enfants, mon mari et moi…Nous le garderions… Voulez-vous ?
La paysanne commençait à comprendre. Elle
- Vous voulez prendre Charlot ? Ah ben non, pour sûr.
Alors Monsieur D’hubières :
- Ma femme s’est mal expliquée.
Extrait de G .de Maupassant, aux champs
Transformez les discours indirectsen discours directs.
1- Les élèves ont dit au professeur qu’ils n’avaient pas compris l’exercice.
2- L’entraineur a déclaré aux joueurs qu’ils devaient absolument gagner le match, ce jour-là.
3- Lynda demanda à son amie si elle viendrait chez elle pendant les vacances.
4- Les enfants avouèrent que, la veille, ils avaient poussé la voiture dans le fossé.
5- Le directeur ordonna à Farid d’aller en salle d’étude et d’y rester jusqu’à l’arrivée de son père.
6- Depuis longtemps, elle se demandait s’ils se rencontreraient un jour, s’il la reconnaitrait.
1- « On n’a pas compris l’exercice » ont dit les élèves au professeur ou : Les élèves ont dit au professeur : « Nous n’avons pas compris l’exercice »
2- L’entraineur a déclaré aux joueurs : « Vous devez absolument gagner le match aujourd’hui. »
3- « Viendras –tu chez moi pendant les vacances ? » demanda Lynda à son amie.
4- Les enfants avouèrent : «Hier, nous avons poussé la voiture dans le fossé. »
5- « Va en salle d’étude, ordonna le directeur à Farid ! Et restes-y jusqu’à l’arrivée de ton père ! »
6- « Est-ce qu’on se rencontrera un jour, se demandait-elle depuis longtemps, me reconnaitra-t-il ? »
Transformez les discours directs en discours indirects.
1- L’inspecteur déclara à ses hommes : « Je suis sur le point de découvrir l’assassin.»
2- « Vous irez faire le guet devant le café du coin, leur ordonna-t-il »
3- « Ne t’aventure pas la nuit dans le quartier, conseilla la mère à sa fille. Rentre avant la tombée de la nuit »
4- « J’ai mal travaillé le trimestre dernier, dit Anis à son père,mais je ferai mieux le trimestre prochain, je te le promets »
5- « Les soldats sont rentrés chez nous avant-hier, dit l’enfant; ils ont fouillé toute la maison et emmené mon père »
6- Le laboureur dit à ses enfants « Creusez, fouillez, bêchez, ne laissez nulle place où là ne passe et repasse »
Lorsque, au discours direct, l’injonction est exprimée à l’impératif, au discours indirect elle se transforme en infinitif précédé de la préposition « de » (de+ infinitif)
1- L’inspecteur déclara à ses hommes qu’il était sur le point d’arrêter l’assassin.
2- Il leur ordonna d’aller faire le guet devant le café du coin.
3- La mère conseilla à sa fille de ne pas s’aventurer la nuit dans le quartier, de rentrer avant la tombée de la nuit.
4- Anis dit à son père qu’il avait mal travaillé le trimestre précédent ; il lui promit de faire mieux le trimestre suivant.
5- L’enfant dit que les soldats étaient rentrés chez eux l’avant-veille qu’ils avaient fouillé toute la maison et qu’ils avaient emmené son père.
6- Le laboureur conseilla à ses enfants de creuser, de fouiller, de bêcher, de ne laisser nulle place où la main ne passe et repasse.
Complétez librement les phrases suivantes.
1- Le professeur annonça ………… que………………… lendemain.
2- « ……………… crièrent les pompiers à la femme dans l’appartement en feu. Nous…………………….. »
3- L’hôtesse annonça au micro que………………………………
4- « …………………, conseille le médecin à mon père. Vous devez……… »
5- Le douanier demanda …………………si …………………
à titre d’exemples
1- Le professeur annonça aux élèves ahuris qu’ils auraient un contrôle de français le lendemain.
2- « Restez où vous êtes, Madame, crièrent les pompiers à la femme dans l’appartement en feu ! Nous allons déployer la haute échelle pour venir vous sauver »
3- L’hôtesse annonça au micro que l’avion aurait du retard.
4- « Ménagez votre santé, conseille le médecin à mon père. Vous devez absolument vous reposer et surtout cesser de fumer »
5- Le douanier demanda aux voyageurs s’ils avaient quelque chose à déclarer.
Reconstituez le texte en remettant dans l’ordre les énoncés suivants.
1- Un matin, dans la bousculade, en descendant les escaliers du réfectoire, je remarquai une porte ouverte. Je laissai les autres descendre, et risquai un coup d’œil au-dehors. Pas âme qui vive !
2- L’aïd arriva. Le concierge était myope et trop vieux pour s’apercevoir que d’autres camarades franchissaient la grille. Tandis qu’il dépliait et lisait le billet de sortie que m’avait remis le surveillant général, je lui masquais la porte jusqu’à la fuite du dernier.
3- Ce fut plus fort que moi, je sortis en blouse noire, et je me mis à courir, ivre deliberté. Je rentraisdésormais à huit heures, avec les externes, après avoir bu un café et acheté des journaux ; ni vu ni connu.
4- Le surveillant était un ami de mon père .Celui-ci l’avait prié de me laisser sortir pour l’aïd, et il étaitconvenu que j’irais ce jour-là au village.
5- Est-il besoin de dire qu’à dater de ce jour, je travaillai de moins en moins. Je fis l’école buissonnière tant et si bien que je perdis la première place un peu partout, sauf en langue française et en littérature.
6- Ce jour-là, je sortis avec « le tatoué » qui devint un complice pour prendrela clé des champs, autant que possible.
7- Peu de temps après, tout à fait par hasard, je découvris un moyenencore plus simple de sortir tous les jours.
4, 2, 6, 7, 1, 3, 5
Remembrement du texte
« Le surveillant était un ami de mon père. Celui-ci l’avait prié de me laisser sortir pour l’aïd, et il était convenu que j’irais ce jour-là au village.
Le concierge était myope et trop vieux pour s’apercevoir que d’autres camarades franchissaient la grille.
Tandis qu’il dépliait et lisait le billet de sortie que m’avait remis le surveillant général, je lui masquais la porte jusqu’à la fuite du dernier. Ce jour-là, je sortis avec « le tatoué » qui devint un complice pour prendre la clé des champs, autant que possible.
Peu de temps après, tout à fait par hasard, je découvris un moyen encore plus simple de sortir tous les jours : un matin, dans la bousculade, en descendant les escaliers du réfectoire, je remarquai une porte ouverte. Je laissai les autres descendre, et risquai un coup d’œil au-dehors. Pas âme qui vive !
Ce fut plus fort que moi, je sortis en blouse noire, et je me mis à courir, ivre de liberté. Désormais, je rentrais à huit heures avec les externes après avoir bu un café et acheté des journaux; ni vu ni connu.
Est-il besoin de dire qu’à dater de ce jour, je travaillai de moins en moins. Je fis l’école buissonnière tant et si bien que je perdis la première place un peu partout, sauf en langue française et en littérature.
D’après Mohamed DIB, L’œuvre en fragments
Associer par un trait
Complétez les énoncés de la liste gauche par ceux de la liste droite, et précisez s’il s’agit d’un retour en arrière, d’une anticipation, d’une ellipse ou d’une progression chronologique.
gauche
1- M. Ortis fut réveillé par un bruit bizarre. Ce n’était pas la première fois que cela se produisait…………….
2- « Bientôt, l’homme revint, roulant lentement. …………………
3- « J’avais alors pour voisine une espèce de folle dont l’esprit s’était égaré sous les coups du…………… malheur………………
4- L’homme errait dans la ville, insensible à la pluie qui lui glaçait les os. Il était épuisé par sa longue course dans les rues de la ville pour trouver du travail ……………
5- Il pensait au jour où il serait libéré. ……………inis, les magouilles et les mauvais coups.………………
6- L’impotent restait là immobile, insensible aux railleries et aux humiliations……………………………...
Droite
a- Il se mettrait sérieusement au travail dans la petite boutique de son père .Un jour, peut-être, il aurait un grand magasin en ville, qui sait ?
b- Il entra par la grille et descendit de machine. Il attendit, un instant, regarda autour de lui, puis il remonta sur sa bicyclette et s’en alla. »
c- Que dirait-il à sa femme ? Elle ne le croirait peut-être pas. Comment ferait-il pour soigner sa petite fille malade.
d- un matin s’hiver, on l’emmena mendier malgré le froid et la neige qui couvrait tout, parce qu’on estimait qu’il devait payer la nourriture qu’on lui donnait. Mais le soir, on ne revint pas le chercher. L’aveugle ne rentra pas.
e- Jadis, à l‘âge de vingt-cinq ans elle avait perdu en un seul mois, son père, son mari et son enfant nouveau-né.
f- La veille, en effet, il lui avait semblé percevoir une présence. Cela l’avait tenu en alerte toute la nuit.
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1
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2
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3
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4
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5
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6
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f
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b
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e
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c
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a
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d
1- Retour en arrière.
2- Suite chronologique.
3- Retour en arrière.
4- Anticipation.
5- Anticipation.
6- Ellipse.
Associer par un trait
Reliez chaque situation initiale à la situation finale qui lui correspond.
Situations initiales :
1- En septembre 1956, après la foire, Adrien dit à son vieux : « Papa, moi je ne veux pas mener la même vie que toi, entre tes chèvres et ton jardin. Tu n’as même pas la radio, tu n’es pas allé au cinéma. Moi, je sais ce que c’est que la vie, j’ai fait mon service militaire. Je veux monter à Paris. Je mènerai une vie de civilisé.
2- J’étais alors au lycée, en quatrième.(…) Ma mère luttait courageusement , afin de gagner chaque mois, ce qu’il nous fallait pour vivre, pour payer le beurre, les vêtements, le bifteck de midi, ce bifteck qu’elle plaçait chaque jour devant moi, dans l’assiette (…) Maman me regardait manger et refusait d’y toucher, disant qu’elle ne supportait pas la viande.
3- Cette fois, c’est certain, je vole. Personne ne prétendra le contraire .Il ne s’agit pas d’un vol en altitude qui prendrait le sol de vue. Plutôt d’un vol en rase-motte, se rehaussant à vingt-cinq centimètres – au maximum- au-dessus de la terre.
4- L’homme, conservé dans la saumure de son époque, dans la morale et dans l’honneur, l’avait enfermée dans sa maison depuis le jour de ses noces et, jusqu’à cet après- midi où nous l’avions fait sortir, elle n’en avait jamais franchi le seuil .Jamais elle n’en avait eu l’idée.
5- Depuis que l’homme avalait des sous- traité, du surgelé, du chimique, du colorant, du pollué à haute dose, il semblait s’être habitué à tout sans jamais risquer le moindre malaise. On aurait vraiment pu affirmer qu’il était immunisé, vacciné, à jamais conditionné.
Situations finales :
a- « Fortement ébranlé, le conducteur expliqua qu’il avait soudain aperçu_ approchant à toute vitesse, venant ensens interdit_ une forme étrange, volant à peu de distance du sol, qui se précipitait vers son automobile. Quelque chose d’insolite, de jamais vu, une sorte de martien peut-être. » Jusqu’au dernier moment, l’homme avait cru rêver. »
(A. Chedid, L’ Artiste)
b- « Sycomores, palmiers, cèdres, pins, eucalyptus, ma mère est allée de l’un à l’autre, a embrassé tous les arbres,à pleine bouche, les a étreints, leur a parlé. Et ils lui ont répondu, ont ri et pleuré avec elle »
(D’après Driss Chraïbi, La civilisation, ma mère)
c- « C’est alors que pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, se posa un problème qui laissa la gauche aussi hébétée que la droite : comment remanier le monde en partant du principe que, désormais, pour survivre, il fallait crever de faim »
(J. Steinberg, La nourriture)
d- « Oh ! le vieux n’a pas triomphé. Trop malin, trop tendre aussi. »
- Ben, mon garçon, à ton aise. Les chèvres, elles sont là, elles t’attendent, celles-là ou d’autres. Et la montagne, elle bouge pas facilement »
( d’après J.P Chabrol Contes d’outre-temps)
e- Ma mère essuyait soigneusement le fond de la poêle avec un morceau de pain qu’elle mangeait. Je demeurai là, un moment, immobile, pétrifié, regardant avec horreur la poêle mal cachée par la serviette, le sourire inquiet, coupable de ma mère, puis j’éclatai en sanglots et m’enfuis.
(d’après Romain Gary La promesse de l’aube)
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1
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2
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3
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4
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d
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e
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a
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b
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c
Le texte suivant a été réduit à ses passages de premier plan. Rétablissez les passages de second plan aux endroits qui conviennent.
a- C’était un ouvrage sur les statistiques.
b - De l’extrémité opposée partaient des cris et des lamentations, et une voix déchirante dominait toutes les autres : « Mon fils ! Mon fils ! » Il était évident qu’un malheur était arrivé.
c- Elle était pleine de monde.
d- Pourquoi M. Alphonse se levait si tôt.
e- Il se passait des choses étranges.
f- Le jour allait se lever.
Texte
Je pris un livre pour changer le cours de mes idées............................................................................. .
Je m’assoupis à la troisième page. Je dormis mal et me réveillai plusieurs fois. ( …) J’étais éveillé depuis un moment lorsque le coq chanta……………………………. Alors j’entendis les mêmes pas lourds, les mêmes bruits dans l’escalier. J’essayai de deviner ……………………………………………………….
J’allais refermer les yeux lorsque monattention fut à nouveau attirée par le tintement des sonnettes, des portes qu’on ouvrait avec fracas. ………………………………Je m’habillai et j’entrai dans le corridor. …………………………. . Je courus à la chambre nuptiale……………………………. Le premier spectacle qui frappa ma vue fut le jeune homme à demi vêtu, étendu sur le lit dont le bois était brisé.
(D’après Prosper Mérimée La Vénus d’Ile)
Je pris un livre pour changer le cours de mes idées…C’était un ouvrage sur les statistiques.
Je m’assoupis à la troisième page .Je dormis mal et me réveillai plusieurs fois… J’étais éveillé depuis un moment lorsque le coq chanta.Le jour allait se lever. Alors j’entendis les mêmes pas lourds, les mêmes bruits dans l’escalier. J’essayai de deviner pourquoi M. Alphonse se levait si tôt.
J’allais refermer les yeux lorsque monattention fut à nouveau attirée par le tintement des sonnettes, des portes qu’on ouvrait avec fracas.Il se passait des choses étranges. Je m’habillai et j’entrai dans le corridor. De l’extrémité opposéepartaient des cris et des lamentations, et une voix déchirante dominait toutes les autres : « Mon fils ! Mon fils ! » Il était évident qu’un malheur était arrivé.
Je courus à la chambre nuptiale. Elle était pleine de monde Le premier spectacle qui frappa ma vue fut le jeune homme à demi vêtu, étendu le lit dont le bois était brisé.
(D’après Prosper Mérimée La Vénus d’Ile)
Insérez le dialogue dans le texte en plaçant chaque réplique à la place qui convient.
- Je veux d’abord vous dire qu’on a toujours été honnête dans la famille et pourtant on est pauvre.
- Est-ce que tu vas répondre, malheur de ma vie ?……………..Voilà les enfants d’aujourd’hui !
- C’est monsieur le commissaire ?
- Mais réponds donc à Monsieur le commissaire…
- C’est toi qui a pris le document ?
Texte
« Une femme se leva à l’entrée du commissaire, fit un pas vers lui, troublée, hésitante. Elle avait la main sur l’épaule d’un gamin.
- …………………………………………....................
Tout le monde regardait de son côté
- ………………………………………………………
Le gosse tout pâle regardait fixement devant lui
- …………………………………………….questionna le commissaire en se penchant.
Pas de réponse. Un regard aigu, farouche.
- ...............................................................................................
… Mais le gamin ne desserrait pas les dents.
- ………………………………………………
Et à Maigret - …………………………………….
« Une femme se leva à l’entrée du commissaire, fit un pas vers lui, troublée, hésitante. Elle avait la main sur l’épaule d’un gamin.
- C’est monsieur le commissaire ?
Tout le monde regardait de son côté
- Je veux d’abord vous dire qu’on a toujours été honnête dans la famille et pourtant on est pauvre.
Le gosse tout pâle regardait fixement devant lui
- C’est toi qui a pris le document ?questionna le commissaire en se penchant.
Pas de réponse. Un regard aigu, farouche.
- Mais réponds donc à Monsieur le commissaire !
Mais le gamin ne desserrait pas les dents.
- … Mais est-ce que tu vas répondre, malheur de ma vie ?
Et à Maigret - Voilà les enfants d’aujourd’hui !
- إختبارات
- 16
- الأجوبة الصحيحة
- False
- الأجوبة الخاطئة
- False
- مجموع النقاط
- False
المراتب الخمس الأولى في Quiz
- meriem bencherifa
- 200 نقطة
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- Boutaina Guennouni
- 195 نقطة
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- وردة ولد
- 185 نقطة
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- ghelamallah rachida
- 154 نقطة
-
- manar mouaki
- 106 نقطة
-
- Bouziane Abdelmoumene
- 52 نقطة
-
- None None
- 49 نقطة
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- el houda Nour
- 35 نقطة
-
- Madaci Celine
- 32 نقطة
-
- mansour safer
- 20 نقطة
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المراتب الخمس الأولى في التمارين
- op19
- 35 نقطة
-
- taki seh
- 5 نقطة
-
- None None
- 5 نقطة
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- sadek khira
- 0 نقطة
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- 0 نقطة
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