Séquence 4 : imaginer et présenter le monde de demain
Remplir les vides
Relevez le vocabulaire de l’hypothèse dans les phrases suivantes :
1) Les scientifiques supposent que la planète Mars contient de l’eau.
2) Nous imaginons que la vie sera meilleure dans 20 ans.
3) Dans 20 ans, les élèves auraient tous soit un micro portable soit une puce collée à la peau.
4) J’admets que nos enfants auraient plus de moyens que nous.
5) Le réchauffement de la planète est une probabilité qui se trouve vérifiée.
6) Faute de neige, les hommes trouveraient d’autres plaisirs en hiver.
Complétez les phrases suivantes en utilisant le futur de l’indicatif :
1) J’imagine que dans 20 ans…………………..........
2) Dans 20 ans, faute de pétrole………………….......
3) Les savants supposent que dans 20 ans………...
4) Dans 20 ans mon lycée sera soit………….soit…...
5) Dans 50 ans, on aura la possibilité…………………
1) J’imagine que dans 20 ans nous volerons.
2) Dans 20 ans, faute de pétrole, on utilisera l’énergie solaire.
3) Les savants supposent que dans 20 ans la science guérira toutes les maladies.
4) Dans 20 ans mon lycée sera soit une prison soit un asile de fou.
5) Dans 50 ans, on aura la possibilité de parcourir la galaxie.
Choisissez parmi les substituts proposés ceux qui remplaceront le mot « miroir » dans ce texte :
la glace, cet objet, le, la, l’, y, en, qui, celui-ci, il elle.
Dans le salon il y avait un miroir, le miroir avait causé la perte de ma grand-mère. Elle s’était regardé nuit et jour dans le miroir jusqu’à sa mort. Tout le monde pensait que le miroir possédait des pouvoirs magiques. On disait qu’un démon habitait ce mystérieux miroir.
Ce miroir allait-il causer aussi la perte de ma femme ? Dès qu’elle a vu le miroir, elle s’est mise à trembler et s’est évanouie. Mais à son réveil, elle n’a cessé de demander ce maudit miroir.
Dans le salon il y avait un miroir, il avait causé la perte de ma grand-mère. Elle s’y était regardé nuit et jour jusqu’à sa mort. Tout le monde pensait qu’il possédait des pouvoirs magiques. On disait qu’un démon habitait ce mystérieux objet.
La glace allait-elle causer aussi la perte de ma femme ? Dès qu’elle l’a vu, elle s’est mise à trembler et s’est évanouie. Mais à son réveil, elle n’a cessé de demander ce maudit miroir.
Remettez dans l’ordre la nouvelle suivante :
1) Du train dont il menait sa vie, royalement et semant l’or sans compter, on aurait dit que sa cervelle était inépuisable.
2) Du fond de son arrière-boutique, la marchande entendit un grand cri ; elle accourut et recula en voyant un homme debout, qui s’accrochait au comptoir et la regardait douloureusement d’un air hébété. Il tenait d’une main les bottines bleues, et présentait l’autre main toute sanglante, avec des raclures d’or au bout des ongles.
3) « Mon mari, qui êtes si riche, achetez-moi quelque chose de bien cher… »
4) Cela dura ainsi pendant deux ans ; puis, un matin, la petite femme mourut, sans qu’on sût pourquoi, comme un oiseau…
5) A dix-huit ans seulement ses parents lui révélèrent le don monstrueux qu’il tenait du destin ; et, comme ils l’avaient élevé et nourri jusque-là, ils lui demandèrent en retour un peu de son or. L’enfant n’hésita pas ; sur l’heure même- comment ? par quels moyens ? la légende ne l’a pas dit-, il s’arracha du crâne un morceau gros comme une noix, qu’il jeta fièrement sur les genoux de sa mère…
6) A quelques temps de là, l’homme à la cervelle d’or devint amoureux, et cette fois tout fut fini. Il aimait du meilleur de son âme une petite femme blonde qui l’aimait tout aussi, mais qui préférait encore les pompons, les plumes blanches et les jolis glands mordorés battant le long des bottines…
7) Et il lui achetait quelque chose de bien cher.
8) Alors on le vit s’en aller dans les rues, l’air égaré, les mains en avant, trébuchant comme un homme ivre. Il entra dans une boutique. Il voulait acheter des bottines.
9) « Un homme était né avec une cervelle d’or ; oui, madame, une cervelle tout en or. Lorsqu’il vint au monde, les médecins pensaient qu’il ne vivrait pas, tant sa tête était lourde et son crâne démesuré… »
10) Un jour, il roula du haut d’un perron et vint donner du front contre un degré de marbre, où son crâne sonna comme un lingot. On le crut mort ; mais en le relevant, on ne lui trouva qu’une légère blessure, avec deux trois gouttelettes d’or caillées dans ses cheveux blonds. C’est ainsi que les parents apprirent que l’enfant avait une cervelle en or…
Un homme était né avec une cervelle d’or, une cervelle tout en or. Lorsqu’il vint au monde, les médecins pensaient qu’il ne vivrait pas, tant sa tête était lourde et son crâne démesuré…
Un jour, il roula du haut d’un perron et vint donner du front contre un degré de marbre, où son crâne sonna comme un lingot. On le crut mort ; mais en le relevant, on ne lui trouva qu’une légère blessure, avec deux trois gouttelettes d’or caillées dans ses cheveux blonds. C’est ainsi que les parents apprirent que l’enfant avait une cervelle en or…
A dix-huit ans seulement ses parents lui révélèrent le don monstrueux qu’il tenait du destin ; et, comme ils l’avaient élevé et nourri jusque-là, ils lui demandèrent en retour un peu de son or. L’enfant n’hésita pas ; sur l’heure même- comment ? par quels moyens ? la légende ne l’a pas dit-, il s’arracha du crâne un morceau gros comme une noix, qu’il jeta fièrement sur les genoux de sa mère… Du train dont il menait sa vie, royalement et semant l’or sans compter, on aurait dit que sa cervelle était inépuisable.
A quelques temps de là, l’homme à la cervelle d’or devint amoureux, et cette fois tout fut fini. Il aimait du meilleur de son âme une petite femme blonde qui l’aimait tout aussi, mais qui préférait encore les pompons, les plumes blanches et les jolis glands mordorés battant le long des bottines…« Mon mari, qui êtes si riche, achetez-moi quelque chose de bien cher… » Et il lui achetait quelque chose de bien cher. Cela dura ainsi pendant deux ans ; puis, un matin, la petite femme mourut, sans qu’on sût pourquoi, comme un oiseau…
Alors on le vit s’en aller dans les rues, l’air égaré, les mains en avant, trébuchant comme un homme ivre. Il entra dans une boutique. Il voulait acheter des bottines. Du fond de son arrière-boutique, la marchande entendit un grand cri ; elle accourut et recula en voyant un homme debout, qui s’accrochait au comptoir et la regardait douloureusement d’un air hébété. Il tenait d’une main les bottines bleues, et présentait l’autre main toute sanglante, avec des raclures d’or au bout des ongles.
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المراتب الخمس الأولى في Quiz
- meriem bencherifa
- 160 نقطة
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- Rodaina Roudy
- 129 نقطة
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- دعاء فاطيمة ظريف
- 0 نقطة
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المراتب الخمس الأولى في التمارين
- meriem bencherifa
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- Rania Bechkit
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- fle Professeure
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- دعاء فاطيمة ظريف
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