Séquence 2 : Produire un récit de vie : l’autobiographie
Cliquer et glisser les réponses dans les cases correspondantes parmi les mots possibles ci-dessous
- , c’est mettre au monde un .
- On se rappelle son .
- L’ est le fait d’agir, de se conduire comme un enfant.
- désigne une chose simple, facile, à la portée d’un enfant.
Choisir la réponse correcte de la liste
Quelle émotion reconnais-tu dans les phrases ci-dessous ?
- Depuis cette histoire, il n’osait plus se montrer ; il restait caché chez lui. (****)
- La jeune fille ne pouvait retenir ses larmes, son nom figurait sur la liste des admis à l’examen. (****)
- Il bombait son torse, son fils venait d’obtenir son bac. (****)
Rédige une situation de deux ou trois lignes où tu exprimeras la peur, l’inquiétude, la honte ou la joie sans employer le mot.
J’étais seule à la maison, je m’apprêtais à sortir lorsque le téléphone sonne. Je ne reconnais pas le numéro, j’hésite … puis je réponds. Mon fils est recruté pour un poste pour lequel il avait postulé. (Hésitation, inquiétude puis la joie)
Indique entre parenthèses la valeur du présent dans chacune des phrases suivantes :
- Bien mal acquis ne profite jamais.
- Cet après-midi, je ramène mon roman à la bibliothèque et je prends une BD à la place.
- Ce soir, je prête à Léa mon livre de contes.
- Un conte ne meurt jamais.
- Le roi épouse une jeune demoiselle. Une fois mariée, l’épouse se montre cruelle envers la jeune et jolie fille du roi. Elle jalouse sa beauté.
- Le petit chaperon rouge désobéit à sa mère. Elle parle au loup. Le loup arrive le premier chez la mère-grand et la dévore.
- En ce moment, je fais des exercices de grammaire pendant que ma petite sœur lit.
- Pendant des siècles, l’empereur de Chine règne sur Tibet. La dynastie des Han dure plus de quatre cents ans.
- Nous venons de finir le projet.
- Nous travaillons chaque jour à huit heures.
- Bien mal acquis ne profite jamais. (Le présent de vérité générale)
- Cet après-midi, je ramène mon roman à la bibliothèque et je prends une BD à la place. (futur proche)
- Ce soir, je prête à Léa mon livre de contes. (futur proche)
- Un conte ne meurt jamais. (Le présent de vérité générale)
- Le roi épouse une jeune demoiselle. Une fois mariée, l’épouse se montre cruelle envers la jeune et jolie fille du roi. Elle jalouse sa beauté. (Le présent de narration)
- Le petit chaperon rouge désobéit à sa mère. Elle parle au loup. Le loup arrive le premier chez la mère-grand et la dévore. (Le présent de narration)
- En ce moment, je fais des exercices de grammaire pendant que ma petite sœur lit. (Le présent d’énonciation)
- Pendant des siècles, l’empereur de Chine règne sur Tibet. La dynastie des Han dure plus de quatre cents ans. (Le présent de narration)
- Nous venons de finir le projet. (passé récent)
- Nous travaillons chaque jour à huit heures. (Le présent d’habitude)
Cliquer et glisser les réponses dans les cases correspondantes parmi les mots possibles ci-dessous
Complète le vide par le déterminant possessif qui convient.
- Entourée de petits enfants, la vieille dame parlait de jeunesse.
- Je n’aime pas parler publiquement de vie, et de mes problèmes.
- Après de nombreuses tentatives, ils ont renoncé à projet de construction.
- passé était si mouvementé qu’il décida d’en faire un livre.
Choisir la réponse correcte de la liste
Choisis le déterminant démonstratif qui convient à chacune des situations.
- **** histoire est extraordinaire.
- J’aime beaucoup **** acteur.
- **** garçons sont d’une éducation remarquable.
- **** femme est ingénieuse.
- Je parlais de **** livre.
Rappelle-toi un événement que tu raconteras en deux ou trois lignes. Emploie déterminants et pronoms possessifs et démonstratifs.
Je me souviens du jour où ma camarade de classe fut renversée par une voiture. Je revois encore notre panique, la mienne et celle de mes autres camarades.
Souligne les verbes dont le temps renvoie au moment de l’écriture et colore ceux dont le temps renvoie au souvenir.
- Je me souviens de la première fois où j’avais pris l’avion.
- Je me rappelle encore de mes premiers jours d’école, j’avais été placé dans une classe où tous les petits parlaient français, je ne savais pas un mot de français. Mais je n’étais nullement gêné, j'excellais en calcul mental, en sport et mon instituteur m’appréciait. Quant à mes camarades de classe, eux étaient impressionnés par la rapidité avec laquelle je calculais.
- Je me souviens de la première fois où j’avais pris l’avion.
- Je me rappelle encore de mes premiers jours d’école, j’avais été placé dans une classe où tous les petits parlaient français, je ne savais pas un mot de français. Mais je n’étais nullement gêné, j'excellais en calcul mental, en sport et mon instituteur m’appréciait. Quant à mes camarades de classe, eux étaient impressionnés par la rapidité avec laquelle je calculais.
Range les verbes dans le tableau.
aurais – alliez – jouais – savais – devrai – partirai –saurais – jouerai – devrais – jouerais – saurais – allais – devais – avais – aurai – irions – parleriez.
Futur | Imparfait | conditionnel |
---|---|---|
Futur | Imparfait | conditionnel |
---|---|---|
devrai – partirai – aurai – jouerai. | alliez – jouais – savais – allais – devais – avais. | aurais – saurais – devrais - jouerais – saurais – irions – parleriez. |
Conjugue les verbes au conditionnel à la personne demandée.
- Parler, 3ème personne du singulier =>
- Aller, 1ère personne du singulier =>
- Faire, 1ère personne du pluriel =>
- Pouvoir, 2ème personne du pluriel =>
- Etre, 1ère personne du singulier =>
- Avoir, 3ème personne du singulier =>
- Finir, 3ème personne du pluriel=>
- Savoir, 2ème personne du singulier =>
- Parler, 3ème personne du singulier => …… Il/elle/on parlerait
- Aller, 1ère personne du singulier => …… J’irais
- Faire, 1ère personne du pluriel =>…… Nous ferions
- Pouvoir, 2ème personne du pluriel => …… Vous pourriez
- Etre, 1ère personne du singulier => …… Je serais
- Avoir, 3ème personne du singulier => …… Il/elle/on aurait
- Finir, 3ème personne du pluriel=> …… Ils/elles finiraient
- Savoir, 2ème personne du singulier => …… Tu saurais
Complète les phrases en conjuguant les verbes en conditionnel présent.
- Si tu écoutais en classe, tu (retenir)…… plus facilement.
- Si tu arrêtais de faire du bruit, on (pouvoir) …… dormir.
- Si elle parlait bien français, elle (aller) …… en vacance au Canada.
- Si vous acceptiez de venir, vous (rencontrer) …… des gens passionnants.
- Si tu voulais bien m’aider, j’en (être) …… contente.
- Si nous avions le temps, nous (faire) …… cette visite.
- Si l’autobus arrivait, vous (pouvoir) …… partir.
- Si tes amis venaient te voir, tu (savoir) …… les amuser.
- Si tu écoutais en classe, tu retiendrais plus facilement.
- Si tu arrêtais de faire du bruit, on pourrait dormir.
- Si elle parlait bien français, elle irait en vacance au Canada.
- Si vous acceptiez de venir, vous rencontreriez des gens passionnants.
- Si tu voulais bien m’aider, j’en serais contente.
- Si nous avions le temps, nous ferions cette visite.
- Si l’autobus arrivait, vous pourriez partir.
- Si tes amis venaient te voir, tu saurais les amuser.
Faire son portrait chinois, c’est parler de soi en utilisant des métaphores et le conditionnel. Fais ton portrait chinois.
- Si tu étais un paysage …
- Si tu étais un vêtement …
- Si tu étais une couleur …
- Si tu étais une saison …
- Si tu étais une fleur …
- Si tu étais un fruit …
- Si j’étais un paysage, je serais une montagne enneigée pour dominer et embellir l’horizon.
- Si j’étais un vêtement, je serais un manteau pour protéger du froid, du vent et du soleil.
- Si j’étais une couleur, je serais la couleur bleu pour rappeler la pureté du ciel et celle de la mer.
- Si j’étais une saison, je serais le printemps pour voir la nature renaitre et s’épanouir.
- Si j’étais une fleur, je serais le jasmin pour embellir et embaumer discrètement.
- Si j’étais un fruit, je serais une orange pour rafraîchir les gorges sèches et leur donner du tonus.
Réécris les phrases suivantes à la 1ère personne du singulier et en les complétant avec des renseignements personnels.
- Emmanuelle Laborit a écrit « Le Cri de la mouette», un récit qui retrace son enfance.
- Marcel Pagnol a appris à lire parce que sa mère le laissait dans la classe de son père instituteur.
- Lazhari Labter n’a fait connaissance avec l’école qu’à un âge très avancé, il y entre avec deux années de retard.
- Michel Leiris subit une intervention qui consistait à lui enlever les végétations.
- Etienne (Nasr Eddine) Dinet s’est inspiré de la ville de Bou-Saâda et de ses habitants pour peindre et pour écrire.
- Je pourrais écrire un livre qui retracerait le récit de ma vie.
- J’ai appris à lire parce que ma mère laissait trainer un peu partout ses livres et ses magazines.
- J’ai fait connaissance très tôt avec l’école ; ma mère travaillait et devait m’y déposer.
- Je subis à l’âge de neuf ans, une intervention qui consistait à m’enlever les amygdales.
- Pour rédiger mes productions écrites je m’inspire de ce que je lis.
Comme dans le texte d’Albert Cohen du cour, rappelle-toi quelques souvenirs et écris-les. Aide-toi du cour de vocabulaire .
A titre d'exemple :
- Je me rappelle notre arrivée à Alger, l’air était chaud, et la lumière si intense ce jour-là que cette image est restée gravée dans ma mémoire.
- Je me souviens avec précisions le jour où je subis l’ablation des amygdales, ma mère à mon chevet atténuait mes douleurs, avec ses gestes et ses paroles pleins d’affection.
- Il m’arrive parfois, de m’accorder un peu de temps et d’essayer de reconstituer un moment de ma vie passée ; je revois avec bonheur ces instants inoubliables.
Tu as vécu un événement qui t’a marqué, qui a marqué ton enfance ; raconte-le dans un texte d’une dizaine de lignes. Aide-toi des exercices faits précédemment.
Critères de réussite
- Tu écriras ton texte à la 1ère personne du singulier.
- Tu emploieras le vocabulaire du souvenir, des sentiments et des émotions.
- Tu feras les accords nécessaires en employant les déterminants et les pronoms possessifs.
- Tu formuleras des phrases simples (S+V+C)
- Tu organiseras ton texte en paragraphes.
A titre d'exemple :
D’habitude, notre mère venait nous chercher à l’école, ma petite sœur et moi. Ce jour-là, elle n’y était pas, j’en fus surprise. Je passai donc prendre ma petite sœur à son école et nous rentrâmes à la maison.
Notre mère était alitée, et se plaignait de terribles maux de tête ; à vrai dire, elle se sentait déjà très mal depuis quelques temps.
Durant une bonne période, c’était les allées et venues des médecins, des membres de la famille et des amis proches ; son état de santé s’aggravait de jour en jour et affectait notre vie de famille. Toute notre vie en fut terriblement bouleversée.
Dans ma tête d’enfant, cette période m’avait semblé d’une éternité, amère et épouvantable, d’ailleurs, le fait d’y penser me fait encore tressaillir aujourd’hui. J’avais peur de la perdre, j’avais peur de me retrouver seule un jour.
Heureusement pour nous tous, elle reprenait petit à petit, son état de santé s’améliorait et peu à peu notre vie de famille avait repris son cours habituel.
- إختبارات
- 29
- الأجوبة الصحيحة
- False
- الأجوبة الخاطئة
- False
- مجموع النقاط
- False
المراتب الخمس الأولى في Quiz
- sonia belghazi
- 239 نقطة
-
- nihad lazzouni
- 200 نقطة
-
- nesrine nessrouna
- 200 نقطة
-
- anas chicha
- 192 نقطة
-
- سهيل قادري
- 177 نقطة
-
- ABDELDJALLIL MENASRIA
- 154 نقطة
-
- نسرين اسعادي
- 131 نقطة
-
- rania khoutri
- 51 نقطة
-
- Mohamed Rachad BOUCHERIT
- 34 نقطة
-
- tato amira
- 0 نقطة
-
المراتب الخمس الأولى في التمارين
- sonia belghazi
- 18 نقطة
-
- Melkhir AYAD
- 18 نقطة
-
- معز خزان
- 18 نقطة
-
- rania khoutri
- 14 نقطة
-
- mokrane iguerouada
- 14 نقطة
-