Séquence 2 : introduire un témoignage
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" Il n'y a pas grand-chose dont je me
J’ai dû vivre à côté tout le long
Sans être ailleurs non plus
Je m'en
Je ne me pas qu'un jour tout
ou quelque chose ait basculé.
-toi de rester vivante. "
Oscarine Bosquet
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- Feu président Houari Boumediène avait rédigé avant de mourir.
- De enseignant, je n’avais lu un si beau texte d’élève.
- Il ne faut pas oublier d’enregistrer ses documents afin de les mettre quand on travaille sur ordinateur.
- L’avocat de l’accusé a fait parvenir son au juge chargé de l’affaire bien avant la date du procès de son client.
Complétez le texte suivant avec les mots donnés : mémoire, histoire.
( …) La ………………….est une faculté qui oublie, disons nous avec un brin d’humour pour justifier nos pertes de ………… ……….. (….) la perte de ……………………..est une tragédie pour un être humain. Cette tragédie peut également être appliquée à un peuple .Un peuple qui a perdu ……………..de son passé se coupe de ses racines .Il est près de disparaître, peut être pas en nombre, mais au niveau de la conscience de son identité culturelle.
La perte de la ………………….collective est alors un sérieux handicap pour les générations montantes qui éprouvent de la difficulté à s’inscrire dans le déroulement de……………..,par manque de perspective .
Extrait de wikipédia
La mémoire est une faculté qui oublie, disons nous avec un brin d’humour pour justifier nos pertes de mémoire (….) La perte de mémoire est une tragédie pour un être humain. Cette tragédie peut également être appliquée à un peuple .Un peuple qui a perdu la mémoire de son passé se coupe de ses racines. Il est près de disparaître, peut- être pas en nombre, mais au niveau de la conscience de son identité culturelle.
La perte de la mémoire collective est alors un sérieux handicap pour les générations montantes qui éprouvent de la difficulté à s’inscrire dans le déroulement de l’histoire par manque de perspective.
Complétez le tableau des verbes en précisant la manière de réagir avec les expressions suivantes :
Étonnement, joie, menace - aveu - mettre en doute ce qui existe - conseil - être sûr de soi - être d’ accord.
Affirmer, assurer, certifier, juger, alléguer | |
Approuver, accepter, acquiescer | |
Prétendre, prétexter, révéler, douter | |
Vouer, confier, reconnaitre, révéler | |
Suggérer, proposer, conseiller | |
Réjouir, s’étonner, se moquer, ricaner, menacer, plaisanter |
Etre sûr de soi | Affirmer, assurer, certifier, juger, alléguer |
Etre d’accord | Approuver, accepter, acquiescer |
Mettre en doute ce qui existe | Prétendre, prétexter, révéler, douter |
aveu | Vouer, confier, reconnaitre, révéler |
Conseil | Suggérer, proposer, conseiller |
Joie, étonnement menace | Réjouir, s’étonner, se moquer, ricaner, menacer, plaisanter |
Complétez le tableau des verbes introducteurs pour préciser le moment d’intervention : terminer la conversation, se parler à soi-même, engager la conversation, reprendre les paroles, développer la conversation.
Annoncer, commencer, | |
Ajouter, continuer, enchaîner, poursuivre, rapporter, répliquer, constater, expliquer, préciser, raconter | |
Répéter, reprendre, renchérir, redire | |
Couper, interrompre, conclure, achever, finir | |
Se dire, penser, réfléchir, |
Engager la conversation | Annoncer, commencer, |
Développer la conversation | Ajouter, continuer, enchaîner, poursuivre, rapporter, répliquer, constater, expliquer, préciser, raconter |
Reprendre les paroles | Répéter, reprendre, renchérir, redire |
Terminer la conversation | Couper, interrompre, conclure, achever, finir |
Se parler à soi même | Se dire, penser, réfléchir, |
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- Baissez vos armes, le policier.
- Où sont les commanditaires de ces manifestations ? Papon.
- Cessez d’agiter le drapeau algérien, le colonisateur français.
- S'il vous plaît, achevez-moi, Louisette Aghilahriz.
- Pas encore, pas encore ! Bigeard.
Complétez les remarques suivantes par « change » ou « ne change pas » lors de la transformation du discours direct au discours indirect.
- Quand le verbe introducteur est au présent :
- Les temps des verbes …………………………………..
- Les pronoms personnels et les pronoms ou les adjectifs possessifs………………………… en fonction de l’énonciateur et de l’énonciataire.
- Les indicateurs de temps et de lieu………………………………….
- Quand le verbe introducteur est au passé :
- Les temps des verbes …………………………………..
- Les pronoms personnels et les pronoms ou les adjectifs possessifs………………………… en fonction de l’énonciateur et de l’énonciataire.
- Les indicateurs de temps et de lieu………………………………….
- Quand le verbe introducteur est au présent :
- Les temps des verbes ne change pas.
- Les pronoms personnels et les pronoms ou les adjectifs possessifs changent en fonction de l’énonciateur et de l’énonciataire.
- Les indicateurs de temps et de lieu ne changent pas.
- Quand le verbe introducteur est au passé :
- Les temps des verbes changent.
- Les pronoms personnels et les pronoms ou les adjectifs possessifs changent en fonction de l’énonciateur et de l’énonciataire.
- Les indicateurs de temps et de lieu changent.
Les phrases suivantes ont été transposées au discours indirect. Trouvez le pronom ou l’ article correct.
- Louisette : « J’ai participé à la révolution du 1er novembre 1954 »
→ Louisette a dit ........ avait participé à la révolution du 1er novembre 1954. - Le journaliste: « Pourquoi vous -avez participé à cette guerre ? »
→ Le journaliste demande pourquoi ......... a participé à cette guerre. - Louisette a répondu : « mon pays avait besoin de moi. »
→ Louisette a répondu ...... pays avait besoin d’....... . - Elle ajouta : « je donnerai mon âme pour l’Algérie. »
→ Elle ajouta qu’....... donnerait ....... pour l’Algérie.
- Louisette : « J’ai participé à la révolution du 1er novembre 1954 »
→ Louisette a dit qu'elle avait participé à la révolution du 1er novembre 1954. - Le journaliste: « Pourquoi vous -avez participé à cette guerre ? »
→ Le journaliste demande pourquoi elle a participé à cette guerre. - Louisette a répondu : « mon pays avait besoin de moi. »
→ Louisette a répondu son pays avait besoin d’elle. - Elle ajouta : « je donnerai mon âme pour l’Algérie. »
→ Elle ajouta qu’elle donnerait son pour l’Algérie.
Transformez les énoncés suivants au discours indirect. (Faites les transformations nécessaires).
- Le journaliste commenta dans son article : « Louisette Aghilahriz est très courageuse ».
- « Qu’avez-vous ressenti le 5 juillet 1962 Mr Aouaz ? » m'avait demandé la journaliste qui m’interviewait.
- « Viendras-tu à la manifestation pour la liberté ? » me demanda un membre du parti.
- « Nous combattrons jusqu’au dernier souffle ! » disait le chef de la guerre.
- Le journaliste commenta dans son article que Louisette Aghilahriz était très courageuse.
- La journaliste qui m’interviewait m'avait demandé ce que j’avais ressenti le 5 juillet 1962.
- Un membre du parti me demanda si je viendrais à la manifestation pour la liberté.
- Le chef de la guerre disait qu’ils combattraient jusqu’au dernier souffle.
Rétablissez la ponctuation et les majuscules dans l’extrait suivant.
dans son livre service spéciaux algérie 1955 1957 paru en 2001 il avouait et assumait la pratique de la torture une torture qu’il avait dite tolérée sinon recommandée par les politiques ce livre aveu qui souleva une tempête politique et des réactions en chaîne était suivi d’interviews dans les médias dans lesquelles aussaresses assumait avec tranquillité sa barbarie est ce que la torture m’a posé des problèmes je dois dire non je m’étais habitué à tout cela répondait il alors sans éprouver le moindre haut le cœur il ne se masquait pas face à ses crimes il en assumait avec un brin de fierté son entière responsabilité bourreau dépouillé de tout sentiment humain.
sofiane aïti flis le soir d’algérie jeudi 05 12 2013
Dans son livre « Service Spéciaux, Algérie 1955-1957 », paru en 2001, il avouait et assumait la pratique de la torture. Une torture qu’il avait dite « tolérée, sinon recommandée par les politiques ».Ce livre-aveu, qui souleva une tempête politique et des réactions en chaîne, était suivi d’interviews dans les médias dans lesquelles Aussaresses assumait avec tranquillité sa barbarie. « Est-ce que la torture m’a posé des problèmes ? Je dois dire non. Je m’étais habitué à tout cela », répondait-il alors sans éprouver le moindre haut-le-cœur. Il ne se masquait pas face à ses crimes. Il en assumait avec un brin de fierté son entière responsabilité, bourreau dépouillé de tout sentiment humain.
Sofiane Aït Iflis. Le Soir d’Algérie. Jeudi 05/12/2013
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