Séquence 2 : rédiger la suite d'événements d'un conte
Souligne dans le conte qui suit les connecteurs temporels (chronologiques).
La fée
Il était une fois une méchante veuve qui avait deux filles. La mère était folle de sa fille aînée mais elle avait une aversion effroyable pour sa cadette. Elle la faisait travailler sans cesse et lui donnait les restes à manger.
Un jour, alors que la cadette était à la fontaine pour puiser de l’eau, une pauvre femme vint à elle, la pria de lui donner à boire. La jeune fille remplit sa cruche et la lui présenta. La vieille femme était une fée qui avait pris la forme d’une pauvre femme. Et en guise de remerciements, elle lui dit : « Je vous donne pour don, qu’à chaque fois que vous direz une parole, il vous sortira de la bouche ou une fleur ou une pierre précieuse. »
Lorsqu’elle fut rentrée, la cadette dut expliquer son retard à sa mère. Mais, pendant qu’elle parlait, il lui sortit de la bouche deux roses, deux diamants et deux perles.
Voyant cela, la mère envoya aussitôt son ainée. A son arrivée, elle vit une princesse qui sortit des bois et elle lui demanda à boire. L’ainée refusa de donner sa cruche à la princesse qui était la fée. Elle lui dit : « Puisque vous êtes méchante, je vous donne pour don qu’à chaque fois que vous direz une parole, il vous sortira de la bouche un serpent ou un crapaud.»
La fée
Il était une fois une méchante veuve qui avait deux filles. La mère était folle de sa fille aînée mais elle avait une aversion effroyable pour sa cadette. Elle la faisait travailler sans cesse et lui donnait les restes à manger.
Un jour, alors que la cadette était à la fontaine pour puiser de l’eau, une pauvre femme vint à elle, la pria de lui donner à boire. La jeune fille remplit sa cruche et la lui présenta. La vieille femme était une fée qui avait pris la forme d’une pauvre femme. Et en guise de remerciements, elle lui dit : « Je vous donne pour don, qu’à chaque fois que vous direz une parole, il vous sortira de la bouche ou une fleur ou une pierre précieuse. »
Lorsqu’elle fut rentrée, la cadette dut expliquer son retard à sa mère. Mais, pendant qu’elle parlait, il lui sortit de la bouche deux roses, deux diamants et deux perles.
Voyant cela, la mère envoya aussitôt son ainée. A son arrivée, elle vit une princesse qui sortit des bois et elle lui demanda à boire. L’ainée refusa de donner sa cruche à la princesse qui était la fée. Elle lui dit : « Puisque vous êtes méchante, je vous donne pour don qu’à chaque fois que vous direz une parole, il vous sortira de la bouche un serpent ou un crapaud.»
A présent, Souligne dans le même conte les connecteurs ou articulateurs logiques.
La fée
Il était une fois une méchante veuve qui avait deux filles. La mère était folle de sa fille aînée mais elle avait une aversion effroyable pour sa cadette. Elle la faisait travailler sans cesse et lui donnait les restes à manger.
Un jour, alors que la cadette était à la fontaine pour puiser de l’eau, une pauvre femme vint à elle, la pria de lui donner à boire. La jeune fille remplit sa cruche et la lui présenta. La vieille femme était une fée qui avait pris la forme d’une pauvre femme. Et en guise de remerciements, elle lui dit : « Je vous donne pour don, qu’à chaque fois que vous direz une parole, il vous sortira de la bouche ou une fleur ou une pierre précieuse. »
Lorsqu’elle fut rentrée, la cadette dut expliquer son retard à sa mère. Mais, pendant qu’elle parlait, il lui sortit de la bouche deux roses, deux diamants et deux perles.
Voyant cela, la mère envoya aussitôt son ainée. A son arrivée, elle vit une princesse qui sortit des bois et elle lui demanda à boire. L’ainée refusa de donner sa cruche à la princesse qui était la fée. Elle lui dit : « Puisque vous êtes méchante, je vous donne pour don qu’à chaque fois que vous direz une parole, il vous sortira de la bouche un serpent ou un crapaud.»
Relève de la situation initiale du conte « La fée », le champ lexical de la famille.
- une veuve
- deux filles
- la mère
- la fille aînée
- la cadette
Voici une liste de mots : « fée, ogre, baguette magique, sorcière, magicien, prince, roi, dragon, géant, génie, nains ». Cette liste de mot appartient au champ lexical :
- de la description
- du réel
- du merveilleux
- du merveilleux
Cliquer et glisser les réponses dans les cases correspondantes parmi les mots possibles ci-dessous
Grâce à sa , la transforma Cendrillon en une belle princesse.
La donna une pomme rouge empoisonnée à Blanche-Neige.
L’ voulait mangeait le petit Poucet et ses frères.
Le a des pouvoirs magiques.
Quand Aladin frotta la lampe merveilleuse, un en sortit.
Le est un monstre fabuleux qui crache du feu.
Les sept ont recueilli Blanche-Neige.
Barre l’intrus dans les listes suivantes :
- magicien, magasin, sorcière, magique.
- prince, roi, royaume, professeur.
- forêt, fleur, feuille, voiture, champ.
- sauterelle, brebis, chaise, lion.
- magicien,
magasin, sorcière, magique. - prince, roi, royaume,
professeur. - forêt, fleur, feuille,
voiture, champ. - sauterelle, brebis,
chaise, lion.
Classe les mots suivants dans le tableau.
gâteau, fée, poupée, baguette magique, chalet, toboggan, cerise, géant, balançoire, dessert, fraise, plats, banane, maison, château.
| Fruits | Merveilleux | Cuisine | Jeu | foyer |
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| Fruits | Merveilleux | Cuisine | Jeu | foyer |
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Associer par un trait
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Cendrillon
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Peau d’âne
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Le petit poucet
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Sindbad
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La belle au bois dormant
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Blanche Neige
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Des pantoufles de vair
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Robe couleur de soleil
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Des miettes de pain
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Un tapis volant
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Des pierres
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Une pomme empoisonnée
Lis le conte suivant et souligne les mots qui relèvent du merveilleux.
Il était une fois une femme qui n’avait pas d’enfants. Un jour, à la fontaine, elle formula le désir d’en avoir un, ne serait-ce qu’un serpent.
Son vœu se réalisa. Elle eut un garçon. C’était un beau jeune homme, mais qui se transformait en serpent, le soir venu. Et tout le village se moquait de lui. Quand il fallut le marier, ses parents cherchèrent très loin des jeunes filles qui ne connaissaient pas l’histoire extraordinaire du jeune homme-serpent.
Un jour, la plus belle des jeunes filles à marier se penchant sur la fontaine, entendit une voix, celle d’une fée qui lui disait : « tu te marieras avec un jeune homme-serpent mais grâce à une phrase magique tu pourras rompre l’enchantement. »
La belle fut mariée. Le soir de ses noces, le jeune époux se transforma, une fois encore, en serpent. Alors, elle prononça la formule magique que la fée lui avait soufflée et miracle : le jeune homme retrouva forme humaine…
Conte berbère, L’homme-serpent
Il était une fois une femme qui n’avait pas d’enfants. Un jour, à la fontaine, elle formula le désir d’en avoir un, ne serait-ce qu’un serpent.
Son vœu se réalisa. Elle eut un garçon. C’était un beau jeune homme, mais qui se transformait en serpent, le soir venu. Et tout le village se moquait de lui. Quand il fallut le marier, ses parents cherchèrent très loin des jeunes filles qui ne connaissaient pas l’histoire extraordinaire du jeune homme-serpent.
Un jour, la plus belle des jeunes filles à marier se penchant sur la fontaine, entendit une voix, celle d’une fée qui lui disait : « tu te marieras avec un jeune homme-serpent mais grâce à une phrase magique tu pourras rompre l’enchantement » .
La belle fut mariée. Le soir de ses noces, le jeune époux se transforma, une fois encore, en serpent. Alors, elle prononça la formule magique que la fée lui avait soufflée et miracle : le jeune homme retrouva forme humaine…
Conte berbère, L’homme-serpent
Cliquer et glisser les réponses dans les cases correspondantes parmi les mots possibles ci-dessous
Place les mots de la liste dans ces phrases en faisant attention au sens :
- La fée remit au héros un pour le protéger pendant son aventure.
- Un éclair violent et un brutal coup de tonnerre furent le de l’arrivée du dragon.
- L’enchanteur versa un dans les verres du roi et de la reine pour les endormir.
- Quand il vit ses mains se transformer en sabots, le héros comprit qu’il était victime d’un .
- A cause d’un mystérieux , tous les villageois furent transformés en souris.
- Depuis qu’un étrange magicien lui avait lancé un , le roi rajeunissait de jour en jour.
Souligne les verbes conjugués à l’imparfait et au passé simple contenus dans le texte et complète le tableau qui suit :
Il y avait une fois un roi et une reine qui vivaient ensemble en bonne intelligence. Ils avaient douze enfants, mais c'étaient douze garçons.
Un jour, le roi dit à la reine : « si le treizième enfant que tu me promets est une fille, les douze garçons devront mourir, afin que l'héritage de leur sœur soit considérable, et que le royaume tout entier lui appartienne ».
Il fit donc construire douze cercueils qu'on remplit de copeaux ; puis le roi les fit transporter dans un cabinet bien fermé, dont il donna la clef à la reine, en lui recommandant de n'en rien dire à personne.
Il y avait une fois un roi et une reine qui vivaient ensemble en bonne intelligence. Ils avaient douze enfants, mais c'étaient douze garçons.
Un jour, le roi dit à la reine : « si le treizième enfant que tu me promets est une fille, les douze garçons devront mourir, afin que l'héritage de leur sœur soit considérable, et que le royaume tout entier lui appartienne ».
Il fit donc construire douze cercueils qu'on remplit de copeaux ; puis le roi les fit transporter dans un cabinet bien fermé, dont il donna la clef à la reine, en lui recommandant de n'en rien dire à personne.
| Le verbe conjugué | L’infinitif | Le temps de conjugaison |
|---|---|---|
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Mets les verbes entre parenthèses à l’imparfait ou au passé simple :
Gepetto (prendre) le pantin sous le bras, le (poser) debout sur le parquet de la pièce afin de le faire marcher. Comme Pinocchio (avoir) les jambes engourdies et ne (savoir) pas se déplacer, Gepetto le (conduire) par la main pour lui apprendre à mettre un pied devant l’autre.
Quand ses jambes (être) dégourdies, Pinocchio (commencer) à marcher tout seul et à courir.
Enfin, il (prendre) la porte, (sauter) dans la rue et (décamper).
Gepetto prit le pantin sous le bras, le posa debout sur le parquet de la pièce afin de le faire marcher. Comme Pinocchio avait les jambes engourdies et ne savait pas se déplacer, Gepetto le conduisit par la main pour lui apprendre à mettre un pied devant l’autre.
Quand ses jambes furent dégourdies, Pinocchio commença à marcher tout seul et à courir.
Enfin, il prit la porte, sauta dans la rue et décampa.
Ecris le pronom personnel qui convient :
- ………… partîtes pour la campagne.
- ………… avaient du courage.
- ……….. fit un vœu.
- ……….. prépara un gateau.
- ……….. ramassa la pantoufle de Cendrillon
Victor voulait devenir magicien depuis son plus jeune âge. A neuf ans, il apprit que Houdini le magicien était capable de retenir sa respiration pendant plus de cinq mille secondes. Alors, à l’heure du bain, il plongea la tête sous l’eau et se mit à compter aussi vite qu’il put. Mais Victor n’arriva jamais jusqu'à cinq mille. Sa mère s’obstina à le sortir de là et elle le força à respirer.
- Vous partîtes pour la compagne.
- Ils avaient du courage.
- Il/ elle/ on fit un vœu.
- Elle/ il /on prépara un gâteau.
- Il ramassa la pantoufle de Cendrillon.
Lis le passage suivant, puis classe les verbes dans le tableau ci-dessous.
Blanche-Neige entra dans la petite maison bien propre. Elle prit des légumes et du pain dans les petites assiettes et but une goutte d’eau de chaque gobelet. Puis elle se coucha sur le lit et s’endormit.
Conte de Grimm, Les trois cheveux d’or du diable
| Le verbe | Le temps | Infinitif |
|---|---|---|
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| Le verbe | Le temps | Infinitif |
|---|---|---|
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Place devant le verbe, le pronom qui convient.
- ………. allâmes
- ………. eus
- ………. fut
- ………. mangeai
- ………. finis
- ………. parlèrent
- ………. chantâtes
- ………. burent,
- ………. crut,
- ………. purent,
- ………. voulus.
- Nous allâmes
- j’eus
- il fut
- je mangeai
- tu finis
- ils parlèrent
- vous chantâtes
- ils burent
- il crut
- ils purent
- je voulus
Ecris au passé simple les verbes entre parenthèses.
Victor voulait devenir magicien depuis son plus jeune âge. A neuf ans, il (apprendre) que Houdini le magicien était capable de retenir sa respiration pendant plus de cinq mille secondes. Alors, à l’heure du bain, il (plonger) la tête sous l’eau et se (mettre) à compter aussi vite qu’il (pouvoir). Mais Victor n’(arriver) jamais jusqu'à cinq mille. Sa mère s’obstina à le sortir de là et elle le (forcer) à respirer.
Complète ce poème de Maurice Carême par : ver - vair - verre - vers – vert.
Il y a le ........ du cerfeuil
Et il y a le ........ de terre
Il y a l’endroit et l’envers
L’amoureux qui écrit en ........
Le ........ d’eau plein de lumière,
La fine pantoufle de ........
Et il y a moi, tête en l’air,
Qui dit toujours tout de travers.
Il y a le vert du cerfeuil
Et il y a le ver de terre
Il y a l’endroit et l’envers
L’amoureux qui écrit en vers
Le verre d’eau plein de lumière,
La fine pantoufle de vair
Et il y a moi, tête en l’air,
Qui dit toujours tout de travers.
Complète les phrases suivantes en choisissant parmi les homonymes ci- dessous.
air-aire/puis-puits/ patte-pâte/ sans-sang/ perd-père/ mère-maire.
- L’…… est pollué.
- On a creusé un ……….. .
- Cendrillon est rentrée ……… sa pantoufle de vair.
- Le ………de Peau d’âne aimait sa femme.
- La ………….de Blanche-Neige mourut à sa naissance.
- L’air est pollué.
- On a creusé un puits.
- Cendrillon est rentrée sans sa pantoufle de vair.
- Le père de Peau d’âne aimait sa femme.
- La mère de Blanche-Neige mourut à sa naissance.
Trouve deux homonymes des mots suivants :
| cours | conte | cent | malle |
foi |
ras | sot |
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| cours | conte | cent | malle |
foi |
ras | sot |
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Complète le récit suivant en choisissant parmi ces éléments modificateurs celui qui convient.
Elément modificateur 1
Soudain, en chemin, il vit un arbre bien touffu. Il alla se reposer à l’ombre puis il reprit sa route.
Elément modificateur 2
Soudain, en chemin, il découvrit le géant endormi sous un arbre.
Il était une fois, un petit tailleur qui allait combattre un géant pour épouser la fille du roi.
……………………………………………………………………………………………..
Alors, courageusement, avec du fil et une aiguille, il emprisonna le géant et l’emmena chez le roi. Le roi le jeta en prison.
Depuis lors, le petit tailleur vit heureux avec la princesse.
Il était une fois, un petit tailleur qui allait combattre un géant pour épouser la fille du roi.
Soudain, en chemin, il découvrit le géant endormi sous un arbre.
Alors, courageusement, avec du fil et une aiguille, il emprisonna le géant et l’emmena chez le roi. Le roi le jeta en prison.
Depuis lors, le petit tailleur vit heureux avec la princesse.
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- False
المراتب الخمس الأولى في Quiz
- belguesmia fadila
- 411 نقطة
-
- rida belkacem
- 220 نقطة
-
- ملاك بلعابد
- 200 نقطة
-
- Barr Samira
- 200 نقطة
-
- عطار رزان
- 200 نقطة
-
- عبد الصمد حمومو
- 200 نقطة
-
- غزلان بريمي
- 197 نقطة
-
- imane gouiri
- 195 نقطة
-
- iyed tejeddine talbi
- 195 نقطة
-
- hadjer BENMEBIROUK
- 194 نقطة
-
المراتب الخمس الأولى في التمارين
- nabil baghli
- 6 نقطة
-
- yousra belmihoub
- 6 نقطة
-
- lynda mejdaoui
- 6 نقطة
-
- aek zaoui
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- Fifi Mada
- 0 نقطة
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